« Ronron thérapie » : Les ronronnements de chats, nouvel anti-stress ?

SANTE – Et si les bruits de votre chat, les ronronnements pouvaient vous prémunir contre le stress, l’hypertension ou encore l’insomnie et l’anxiété ? On dit souvent que le chat est un animal de compagnie solitaire mais votre chat pourrait devenir votre meilleur allier bien être ! En effet, selon, Jean-Yves Gauchet, vétérinaire à Toulouse le ronronnement de votre chat pourrait réguler la tension artérielle ou encore de booster les défenses immunitaires. Découvrez la « ronron thérapie » !

Si cette information santé peut paraitre saugrenue, ce vétérinaire de Toulouse affirme que le « ronron » de votre chat peut agir comme un médicament ou de la médecine douce : « Quand l’organisme lutte contre des situations pénibles, comme le stress, le ronronnement du chat émet des vibrations sonores apaisantes et bienfaisantes, un peu comme la musique ». En effet, le ronron du chat vient du larynx et ses vibrations sont un signe d’apaisement entre chats. Alors pourquoi il ne serait pas positif également pour l’humain ?

Selon Jean-Yves Gauchet, il y a une explication scientifique derrière ces déclarations qui prônent la « ronron thérapie » : « C’est par le tympan mais aussi les corpuscules de Pacini, des terminaisons nerveuses situées au ras de la peau, que nous percevons le ronron qui émet des fréquences basses, entre 20 et 50 hertz. Des pensées positives et de bien-être sont alors transmises à notre cerveau ».

ronron-therapie-chat

Il serait donc à fait positif pour sa santé d’avoir un chat car en plus du bruit du ronronnement qui permettrait de maitriser sa respiration et d’éviter certains troubles comme le stress, caresser un chat aurait également des vertus positives qui permettraient de se détendre et de baisser son rythme cardiaque. Alors à quand des « bars à chat » (les « Neko Cafes ») qui fleurissent au Japon ou la « ronron thérapie » est un vrai business ?

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  1. Meunier
    14 janvier 2013

    Bonjour,

    Bien que n’ayant aucune compétence en matière médicale, je suis parfaitement d’accord avec ce qui précède. Étant moi-même un grand dépressif, j’ai toujours remarqué le bien être que m’apportent mes animaux.
    Particulièrement en 2009, suite à une grave décompensation liée à mon travail, mon retour à la sérénité s’est fait en partie grâce à un petit chat que nous avions alors et qui a passé des heures à ronronner sur mes genoux.

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