MEGA.co.nz : 1 million de visiteurs et 500 000 comptes « gratuits » pour Mega ?

KIM DOTCOM – Le lancement officiel de Mega, le nouveau « Megaupload » a eu lieu par Kim Dotcom via l’url mega.co.nz dimanche à 06H48 en Nouvelle Zélande (17H48 GMT samedi en France). Après des débuts chaotiques, Mega étant inaccessible durant plusieurs heures à cause d’un nombre trop important de visiteurs, le fondateur Kim Dotcom revendique 1 million de visiteurs et plus de 500 000 comptes gratuits inscrits sur Mega ! Véritable succès et une nouvelle menace pour les droits d’auteurs ?

Fidèle à sa stratégie de buzz, le sulfureux fondateur de Megaupload et de Mega Kim Dotcom a tenu à commenter le lancement de Mega en direct sur son compte Twitter, déclarant seulement quelques minutes après le lancement officiel de sa nouvelle plateforme de partage et de stockage de fichiers en ligne : « 250.000 utilisateurs inscrits. La capacité des serveurs à son maximum. Ca devrait aller mieux une fois retombée l’euphorie initiale. Wow!! ». Alors avez-vous pu vous inscrire sur Mega, le nouveau site de Kim Dotcom ? £

Si vous avez été parmi les premiers chanceux à pouvoir ouvrir un compte sur Mega.co.nz, il semblerait que le service Mega soit encore instable du aux nombreuses connexions. Il est cependant plus facile de pouvoir s’inscrire via un compte payant sur Mega, dont nous vous rappelons les tarifs :

> abonnement mensuel pour à 9.99 euros pour 500 Go (ou 99€ pour une année) avec une bande passante limitée à 1 To.
> abonnement mensuel de 19.99€ pour 2 To avec une bande passante limitée à 4 To.
> abonnement mensuel de 29.99 euros pour 4 To avec une bande passante limitée à 8 To.

mega.co.nz

Et il semble normal que Mega « bloque » un peu car Kim Dotcom revendiquait à l’époque 50 millions de visiteurs quotidien sur Megaupload ! Rappelons d’ailleurs que Kim Dotcom reste sous la menace d’une extradition aux Etats-Unis, qui veulent le juger pour violation de droits d’auteur car la justice américaine accuse Kim Dotcom d’avoir gagné près de 175 millions de dollars en proposant de pirater des films, séries télévisées ou autres médias.

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