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Antidépresseur. Et si le sperme rendait les femmes heureuses ?

SEXUALITE – Le sperme serait bon pour le moral en agissant comme antidépresseur pour les femmes ! Des chercheurs américains de l’Université d’État de New York ont publié dans les Archives of Sexual Behaviour Journal les résultats d’une étude scientifique sur les pratiques sexuelles de 293 femmes ainsi que leur santé mentale. Des résultats étonnants qui indiquent que le sperme agirait comme un véritable antidépresseur !

En effet, les résultats de l’étude révèlent que la présence dans le sperme masculin de trois antidépresseurs (la mélatonine, la sérotonine et la thyrotropine) favoriserait « le bien-être mental et le sentiment d’affection » une fois dans le sang des femmes. De plus, le sperme est également composé de cortisol, un agent chimique qui augmente le sentiment d’affection ainsi que d’ocytocine et d’estrone, favorisant « la bonne humeur » selon l’étude.

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Ainsi, les femmes qui ont régulièrement des rapports sexuels non protégés sont moins déprimées que celles qui ont des rapports avec un préservatif. De plus, l’étude sur la pratique sexuelle de nombreuses femmes et leur santé mentale indique également que les femmes qui ont des rapports protégés sont tout autant déprimées que les femmes abstinentes !

Voici quelques chiffres de l’étude de l’Université d’État de New York publiée dans les Archives of Sexual Behaviour Journal : les femmes qui n’utilisaient pas de préservatifs sont moins déprimées (87%) que celles qui ont un rapport protégé. Ainsi, 4,5% avaient tenté de se suicider, contre 7,4% chez celles qui en utilisaient parfois, et 13,2% chez les femmes qui utilisaient toujours ce moyen de contraception. Cette étude est cependant à prendre avec des pincettes car ne prenaient pas en compte la relation amoureuse et les sentiments des couples étudiés !

Rappelons également que pour avoir un rapport sexuel non protégé avec sa ou son partenaire, il faut au préalable avoir effectué un test pour le Sida, maladie sexuellement transmissible qui se transmet lors de rapports sexuels non protégés.

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  1. ornito
    26 août 2012

    Et comment décorrèle-t-on le fait qu’avoir uniquement des rapports protégés implique un mode de vie différent du contraire ?

  2. Joe Dalton
    26 août 2012

    C’est pas un peu biaisé comme étude ?
    Comparer des femmes qui ont des rapports protégés avec des femmes qui ont des rapports non protégés, ça revient à comparer 2 populations différentes, donc les résultats sont inutilisables!
    Peut-être que:
    – le simple fait d’avoir des rapports non protégés diminue le stress
    – elles sont moins déprimées au départ, du coup elles sont plus à l’aise avec leur sexualité et « se lâchent » plus, ou plus tôt
    – celles qui ont des rapports protégés le font pour quelles raisons ? Problèmes de santé, de stabilité affective, de stress… ?

    Donc ça ne me parait pas bien sérieux cette étude.!

  3. R
    26 août 2012

    Cette étude est cependant à prendre avec des pincettes C EST CE QUE JE RETIENS

  4. lenoir
    26 août 2012

    Consternant : on se demande comment des gens peuvent se prétendre scientifiques en énonçant de pareilles âneries; comme le fait justement remarquer le journaliste, l’étude ne prend pas en compte les sentiments des couples étudiés; or, il est plus que probable que les couples qui utilisent le préservatif ont une relation plus instable que ceux qui ne l’utilisent pas (en générale, quand l’homme n’utilise pas de préservatif, c’est qu’il accepte l’éventualité d’une naissance, donc une relation de longue durée avec la femme).
    Alors, dans une société où la reconnaissance sociale d’une femme est principalement basée sur son rôle de mère et épouse, il est peut-être normal qu’une femme se sente une ratée lorsqu’elle n’arrive pas à hameçonner un marieur et à lui faire accepter de l’engrosser
    Par ailleurs, j’aimerais savoir si ces « scientifiques » ont fait les mêmes mesures avec les couples homosexuels masculins, pour vérifier l’impact du préservatif sur celui qui fait la femme …

  5. remi
    26 août 2012

    Ca compte quand elles avalent ???

  6. Serge Poli
    26 août 2012

    Et dire qu’elles ne nous croient pas quand on le leur dit …

  7. lili
    26 août 2012

    Argument de choc 😀 et c’est une info écrite par un homme !

  8. olivix
    26 août 2012

    Et on paie des personnes pour faire des études là dessus ? N’y aurait-il plus d’importantes découvertes à faire ?

  9. pascal.sacramento@free.fr
    27 août 2012

    Cool il faut que tout homme ou femme face l expérience pour voir si l’étude et vraie

    1. Jhon
      27 août 2012

      la remarque la plus pertinente que j’ai pu lire, et la meilleure !!!
      jhon

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