Claude Lévi-Strauss : 5 citations, 1 Doodle, et son 105ème anniversaire !

DOODLE – Le célèbre ethnologue Claude Lévi-Strauss est mis à l’honneur aujourd’hui jeudi 28 Novembre 2013 car il aurait fêter son 105ème anniversaire. L’occasion pour Google de montrer via un Doodle la « double face » de Claude Lévi-Strauss, né à Bruxelles le 28 novembre 1908 de parents juifs alsaciens et qui est considéré comme le père de l’anthropologie structurale.

Quels sont les principaux ouvrages de Claude Lévi-Strauss ?

On compte parmi les principaux ouvrages de Claude Lévio-Strass Tristes Tropiques (1955), « Les Structures élémentaires de la parenté », « Anthropologie structurale » ou encore les 4 volumes « Mythologiques ». Dans ces ouvrages, on trouve de nombreuses citations car Claude Lévi-Strauss dissertait sur de nombreux sujets comme le rapport entre l’homme et la nature ou encore l’humanisme. Voici 5 citations qui explique et représente le travail de Claude Lévi-Strauss :

«Le monde a commencé sans l’homme et il s’achèvera sans lui.» (Tristes Tropiques)

«La vie sociale consiste à détruire ce qui lui donne son arôme.» (Tristes Tropiques)

« Le barbare, c’est d’abord celui qui croit à la barbarie. » (Race et histoire)

« La fonction primaire de la communication écrite est de faciliter l’asservissement. » (Tristes Tropiques)

«Le savant n’est pas l’homme qui fournit les vraies réponses, c’est celui qui pose les vraies questions.» (Le Cru et le Cuit)

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Un Doodle Google à 2 faces pour Claude Lévi-Strauss !

Claude Lévi-Strauss, dissertait souvent sur le rapport entre l’homme et la nature. Nous retrouvons donc dans ce Doodle Google du jour deux visages de Claude Lévi-Strauss avec un côté ville et un côté campagne. Décédé le 31 octobre 2009 à l’âge de 100 ans, dans sa maison, Claude Lévi-Strauss aurait eu 105 ans aujourd’hui. Ce doodle Google nous rappelle la distance que Claude Lévi Strauss avait pris à la fin de sa vie quand il déclarait en 2005 : « Nous sommes dans un monde auquel je n’appartiens déjà plus. Celui que j’ai connu, celui que j’ai aimé, avait 1,5 milliard d’habitants. Le monde actuel compte 6 milliards d’humains. Ce n’est plus le mien. »

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